interprétation végétale de la Sculpture « L’Extase de sainte Thérèse » de Le Bernin
Je poursuis ici ma recherche et réflexion sur le sacrée. Parmis de nombreuse tradition, nous retrouvont la terre-mère, pachamama, la nature et la femme… nourricière, créatrice, donneuse de vie et d’abondance. Le féminin incarne parfaitement la grâce, la divinité… ici, l’état d’extase sera plutôt comme une prise de conscience, touchée par la lumière. Sainte Thérèse représente aussi, le chemin, vers une sorte d’éveil en 7 étapes qui réalise progressivement, porte après porte pour se connecter au divin en nous. C’est cette sobriété graphique que j’ai voulu peindre, en 4 tonalité de gris, lumineux par le drapé et ponctué des seule couleur des plantes et des rayons de soleil. C’est beaucoup plus que du lierre qui pousse en s’accrochant sur une statue et qui reprend ses droits, c’est sa nature profonde, son essence animale et végétale qui soufflent sur le masque des apparences et transcende sa condition humaine
Fervent défenseur de l’utilisation des plantes, homéopathie, naturopathie… j’aurai tellement à dire sur le sujet que je n’ose décrire mon mécontentement, voire ma colère lorsque j’apprends que toutes herboristerie va disparaitre, que nos chères granules ne sont plus remboursées… je vais devenir dealer de thym et de laurier si ça continu… Bref, tout ça au bon profit des Big-pharma, qui pillent l’héritage des connaissances ancestrales de nos aïeux Celtes, chamanes, tribus pour synthétiser quelques pilules à bon prix. Les onguents existent depuis la nuit des temps, dans les rites sacrés pour se connecté au divin, pas un dieu exterieur à nous même et qui nous dit quoi faire mais une vision enthéogénique, la petite voie à l’intérieur, comme une méditation accélérée. L’humain faisant partie d’un tout, croît dans son envirronement, et toi? en quoi tu crois? au moins en toi j’espère 😉
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